Si le mouvement a longtemps squatté les murs de l’underground, il côtoie volontiers ceux de l’art contemporain aujourd’hui. Comme la plupart des villes imprégnées par la culture graff, Toulouse fait face à ce cas de conscience artistique.
On les a surnommés les Dj’s du quotidien. Entre contraintes esthétiques, adaptation au public selon les horaires, et exercice d’endurance, ils renouvellent la tradition de la culture musicale dans les bars de Toulouse.