TROMBINOSCOPE,
portraits d’équipe : Baptiste

Que serait Clutch sans ses Clutchers ? Dans le magazine n°100 (!!), on a fait une présentation succinte de celles et ceux qui font exister le magazine à l’instant de ses dix ans. Et aujourd’hui, on vous présente Baptiste !

Rôle de Clutcher ?
« Garde fous »

Depuis…
« Un jour sans fin »

Ton premier article, c’était bien ?
Pour le premier numéro, c’était une interview d’un musicien et compositeur de musique symphonique, qui a fini par tourner autour de la question : les musiciens classiques étaient-ils les punks de leur époque ? Oui, c’était bien.

Tes meilleurs moments à Clutch ?
Ceux où naissent de nouvelles idées. Les rencontres qui bousculent nos visions du monde.

Et le pire ?
Tous les projets abandonnés ou laissés de côté, faute de temps et de moyen, financier autant qu’humain. Heureusement, de temps en temps, on arrive à en concrétiser quelques- uns, en plus du magazine et des soirées, c’est déjà beaucoup.

Ton meilleur souvenir de Clutcho’ ?
Mars 2020, au Zénith de Toulouse, avec la soirée Oz. Une sorte d’apogée involontaire, la dernière grosse soirée avant le premier confinement de l’ère Covid, déclenché quelques jours plus tard.

C’est quoi Toulouse ?
Un paradoxe et une mine de trésors artistiques cachés.

Y’a quoi dans ta playlist ?
Enormément de rock, de toutes les décennies, un peu de metal, de pop, de la folk, du jazz, des musiques symphoniques. Beaucoup, beaucoup de bandes originales de films, aussi. Et les Guns ‘n Roses. Y’a un problème ?

Ton film fétiche ?
Ça dépend de l’humeur. Fight Club, The Tree of Life ou Mad Max.

Clutch, dans dix ans ce sera quoi ?
Sur le fond, toujours un magazine culturel de proximité. Sur la forme, qui sait ?

Ta phrase choc ?
On fait ce qu’on peut !

Image : Vol au Dessus d’un Nid de Coucou © DR